Ce partenariat portant sur la « protection des mineurs en conflit avec la loi » implique d’autres départements comme le ministère de la Femme et de la famille, le ministère de la Santé et le ministère de l’Intérieur, a indiqué l’UNICEF.
Dans ce cadre, l’agence onusienne spécialisée soutiendra le ministère pour l’élaboration des textes de loi et le renforcement des capacités des responsables de l’application de la loi (forces de l’ordre, magistrats et autres auxiliaires de justice).
L’objectif est qu’un mineur en conflit avec la loi soit principalement sanctionné par des mesures à vocation éducative plutôt qu’une peine de prison, selon le ministère de la Justice cité par des médias locaux. L’expérience a montré que les peines alternatives ont fait leurs preuves tant au niveau de la récidive que de la réinsertion, a-t-on indiqué.
En 2015, Djibouti s’est dotée d’un code de protection juridique des mineurs conformément à la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
Source: dpa.news