Au programme de la conférence, un concours africain dans le domaine de l’Intelligence artificielle pour le développement durable (« AI 4 Good Challenge ») et un concours dans le secteur de la robotique (« AI 4 Robotics »).
Des représentants de 35 pays africains avaient participé en 2022 à la première édition de l’ASC qui a débouché sur la « Déclaration d’Alger pour le développement des startups en Afrique ». Ce document qui instaure une coopération interafricaine de haut niveau dans le domaine des startups, a été adopté par le Conseil exécutif de l’Union africaine (UA) en 2023.
Lors de la première édition de l’ASC, l’Algérie et la Tunisie ont signé un mémorandum d’entente permettant aux startups tunisiennes de bénéficier des mêmes avantages accordés aux startups algériennes en Algérie et vice et versa. Selon Yacine El Mahdi Oualid, l’Algérie aspire à signer plusieurs accords similaires, avec d’autres pays comme le Nigeria et la Côte d’Ivoire.
Dépendant largement de ses revenus gaziers et pétroliers, l’Algérie veut faire des startups la « locomotive » d’un nouveau modèle économique basé sur la connaissance et l’innovation. Dans cette optique, le pays a mis en place, depuis 2020, une batterie de mesures pour inciter ses jeunes à se lancer dans un business à fort potentiel de croissance : les startups.
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