La couture est une activité clé de ces centres de formation, équipés d’ateliers textiles et de machines à coudre professionnelles. La production de textiles peut également générer des fonds pour les WDTC et aider à les transformer en centres commerciaux communautaires durables, selon la GIZ. La mise en place des WDTC fait partie du projet « la décentralisation comme contribution à la stabilisation en Libye/Appui aux municipalités », cofinancé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du développement (BMZ) et l’Union européenne (UE).
En Libye, les femmes ne constituent que 28 pour cent du marché de l’emploi, selon la Banque mondiale (BM). Plus de la moitié des Libyennes actives travaillent dans le secteur public, en particulier dans l’éducation et la santé. Leur présence est moindre dans le secteur privé, dans l’entrepreneuriat et dans les emplois bien rémunérés. Le pays affiche l’un des taux de chômage parmi les plus élevés au monde, notamment chez les jeunes et les femmes, d’après la GIZ.
Source: dpa.news