La table ronde a pour objectif est, entre autres, de mettre en évidence les contributions des jeunes pour l’élimination des MGF, et de mobiliser leur soutien pour mettre fin à ces pratiques néfastes, a indiqué l’UNFPA. Le programme conjoint s’appuiera sur leurs contributions et perspectives pour éclairer la quatrième phase du programme commun et lancer un mouvement mondial de la jeunesse pour accélérer l’élimination des MGF, a-t-on ajouté.
Les participants sont des jeunes représentants des 17 pays du programme conjoint sur les MGF : Burkina Faso, Djibouti, Égypte, Érythrée, Éthiopie, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Kenya, Mali, Mauritanie, Nigéria, Sénégal, Somalie, Soudan, Ouganda, Yémen, ainsi que d’autres pays en dehors du programme conjoint comme le Niger, la République centrafricaine, le Ghana, le Togo, l’Indonésie et la Colombie.
L’engagement des jeunes en tant qu’agents du changement est essentiel pour garantir que personne ne soit laissé pour compte, y compris pour mettre fin aux MGF, a souligné la Directrice régionale de l’UNFPA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Argentina Matavel Piccin. Les MGF sont, selon le FNUAP, une pratique qui consiste à altérer ou léser les organes génitaux de la femme pour des raisons non médicales. Elles sont reconnues au niveau international comme une violation des droits de la personne.
Source: dpa.news