L’objectif visé, selon le PNUD, est de « contribuer à l’amélioration du bien-être des populations à travers la création d’emplois ». La cible visée est de 500 000 nouveaux bénéficiaires finaux à atteindre d’ici fin 2026, dont 55 pour cent de femmes et 30 pour cent de jeunes.
Selon la directrice de cabinet adjointe du ministre des Finances, Ginette Nzau, le programme ACTIF 2 permettra « de lutter contre la pauvreté et les inégalités, en donnant accès aux populations vivant en milieu rural et à des produits financiers innovants ».
A la cérémonie de lancement d’ACTIF 2, le représentant résidant du PNUD en RDC, Damien Mama, a rappelé que 500 000 personnes avaient pu bénéficier de crédits financiers et améliorer leurs conditions socio-économiques. « Le moment est venu de donner aux jeunes congolais et aux femmes, le moyen de leur autonomisation pour entreprendre des initiatives économiques car, nous avons beaucoup plus besoin de créateurs d’emplois que de demandeurs », a-t-il ajouté.
Ce projet concernera, en premier temps, douze provinces sur les 26 que compte le pays, avec l’ambition de couvrir progressivement toute l’étendue de la RDC. ACTIF 2 va bénéficier de l’appui technique du Fonds d’équipement des Nations Unies (UNCDF) et du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR).
La première phase d’ACTIF s’était étalée de septembre 2017 à février 2021. Elle visait à améliorer le bien-être des ménages, à accroître l’efficacité économique et à soutenir la croissance en augmentant le pourcentage d’adultes ayant accès à des services financiers formels.
source: dpa.news