Le renforcement des chaînes de valeur du maïs, du karité, de la mangue et de l’anacarde, garantiront la durabilité du projet. Des pratiques améliorées de gestion des terres et de l’eau résilientes au climat seront appliquées sur une superficie de 95 000 hectares dans le bassin. Le projet bénéficiera indirectement aux 6 millions de personnes du bassin, a ajouté l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Pour la Gambie, le projet bénéficiera à environ 168 000 personnes qui dépendent de la pêche. Grâce à des techniques d’adaptation au climat, le projet renforcera la résilience climatique des pêcheurs, particulièrement vulnérables à l’élévation du niveau de la mer et aux facteurs de stress climatiques.
Les mesures d’adaptation comprendront une aquaculture résistante au climat, la restauration de l’habitat de la pêche par la restauration des mangroves et la culture des huîtres, ainsi que la mise à l’abri du climat des infrastructures de pêche à petite échelle. Les deux projets favoriseront l’égalité des sexes, en contribuant à garantir la santé, la sécurité et les moyens de subsistance des femmes et des filles qui sont touchées de manière disproportionnée par les effets du changement climatique, a expliqué le GCF.
source: dpa.news