L’atelier, qui portait sur la santé reproductive des adolescents, a été organisé dans le cadre du projet SANSAS, qui vise à atteindre des jeunes et des agents de santé et agents communautaires.
Pour lui, « les populations ont droit à une bonne information, surtout dans une thématique aussi sensible que la santé sexuelle et reproductive des jeunes et des adolescents », a rapporté l’Agence de presse sénégalaise (APS). Parmi les trois objectifs assignés au projet SANSAS, l’Agence française de développement (AFD), bailleur de fonds, cite « la production de connaissances, la sensibilisation et le plaidoyer auprès des acteurs-clés comme le personnel soignant, les enseignants, les journalistes et les jeunes leaders ». Le projet SANSAS, Sunu Wergu Yaram, Sunu Yite (Notre santé, notre préoccupation, en wolof), financé à hauteur de 8 millions d’euros par l’AFD, a été lancé le 22 octobre 2021 pour une durée de quatre années.
Il escompte toucher 632 000 jeunes de 10 à 24 ans dans 20 communes des régions de Sédhiou et Thiès et 1 852 professionnels de santé et agents communautaires dans les structures de santé des zones d’intervention. Il vise également l’ensemble des acteurs de l’environnement familial, éducatif, communautaire et social. Le projet est porté par un consortium mené par l’ONG Solthis avec Enda Santé, Equipop, le Réseau africain d’éducation pour la santé et la citoyenneté (RAES) et le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (LARTES).
source: dpa.news