« Le FESPACO fait partie du calendrier culturel et touristique africain et génère des retombées économiques importantes pour notre pays », a déclaré la ministre burkinabè chargée de la Culture, Valérie Kaboré, dont les propos ont été rapportés par l’Agence d’information du Burkina Faso (AIB). Le chef de l’État, Paul-Henri Sandaogo Damiba, « a donné des instructions » afin que la fête du cinéma soit une réussite et serve de cadre pour renforcer « le vivre-ensemble et la diversité culturelle », a-t-elle ajouté.
Le FESPACO a déjà lancé, fin mars 2022, un appel à inscriptions pour la sélection officielle des films. La compétition comporte deux sections, celle réservée aux films de réalisateurs africains et de la diaspora, et l’autre ouverte aux films des cinéastes du monde. Lors de l’édition précédente, tenue en octobre 2021, plus de 200 films ont été sélectionnés pour la compétition dont 15 long-métrages. L’Étalon d’or est revenu à l’auteur-réalisateur finno-somalie, Khadar Ahmed, né à Mogadiscio en 1981, pour son film La femme du fossoyeur (The Gravedigger’s Wife).
source: dpa.news