En fonction de l’infrastructure, de la main-d’œuvre, de la recherche clinique et des capacités réglementaires en place, l’OMS et ses partenaires travailleront avec les pays bénéficiaires pour élaborer une feuille de route et mettre en place la formation et le soutien nécessaires pour qu’ils puissent commencer à produire des vaccins dès que possible. « Aucun autre événement comme la pandémie de Covid-19 n’a montré que le fait de s’en remettre à quelques entreprises pour fournir des biens publics mondiaux est limitatif et dangereux », a déclaré le Directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Jusqu’à présent, a-t-il ajouté, plus de 80 pour cent de la population africaine n’a pas encore reçu sa première dose de vaccin. L’effort initial est centré sur les technologies et les produits biologiques à base d’ARNm, qui sont importants pour la fabrication de vaccins et peuvent également être utilisés pour d’autres produits, tels que l’insuline pour traiter le diabète, les médicaments contre le cancer et, potentiellement, les vaccins contre d’autres maladies prioritaires comme le paludisme, la tuberculose et le VIH, a précisé l’OMS
Source: dpa.news