Placée sous le thème de « La santé mentale dans le contexte de la migration mixte : défis et perspectives », l’atelier vise à garantir aux migrants et réfugiés un traitement égalitaire dans la politique de la santé nationale au Maroc surtout avec l’avènement du chantier de l’élargissement de la couverture sociale et médicale dans ce pays nord-africain, a indiqué l’ambassadeur japonais, cité par l’Agence de presse marocaine (MAP).
Les participants ont débattu de la présentation, de l’identification et de la prise en charge des cas psychologiques et psychiatriques, ainsi que de la mise en place des mécanismes de coordination et des systèmes de référencement, d’orientation et de suivi, a rapporté l’Agence.
Dans les pays d’accueil ou de transit, les réfugiés et les migrants sont confrontés à de nombreux problèmes notamment des troubles psychiques et psychiatriques, a souligné Latifa Jamai, présidente déléguée de l’AMPF. « L’AMPF essaye, avec le ministère (marocain, ndlr) de la Santé et le HCR, de discuter de ces problèmes en vue d’avoir une conduite commune, et ce, pour soulager la souffrance de cette communauté » a-t-elle dit, cité par la MAP.
Au Maroc, la pandémie de la Covid-19 a aggravé les vulnérabilités parmi les réfugiés qui ont perdu tout repère pour une intégration sociale et économique, a indiqué, pour sa part, Bettina Gambert, la représentante adjointe du HCR.
Source: dpa.news