Malgré les textes qui sévissent contre cette pratique et la dénonciation des activiste la violence conjugal persiste toujours dans plusieurs foyers.
À Mamou c’est une dame du nom de Fatoumata Tall qui a été sévèrement bastonée par son mari jusqu’à ce que ces deux bras soient casses.
Le seul crime de la dame est de refuser d’ouvrir la porte de la chambre à son mari qui est rentré selon notre source tard la nuit.
Mari Saabou, jeune sœur de la victime revient sur les circonstances << Moi j’étais à Baley pour une cérémonie, ma sœur m’a appelée pour me dire qu’elle est tombée et tous ces deux mains sont cassées. Après je lui ai dit d’appeler maman pour qu’elles puissent aller à l’hôpital. Et lorsque maman lui a vu, elle a dit directement qu’elle n’est pas tombée, c’est une bastonnade, après elle a dit que c’est son mari qui lui a frappée à l’aide d’un bâton. Et ce dernier était allé veillé jusqu’à 23 heures, il est revenu frappé à la porte, et ma sœur a ouvert le salon, par après elle est rentrée dans sa chambre, fermé la porte et se coucher. Il a dit d’ouvrir, mais ma sœur n’avais l’intention de le faire, finalement elle a ouvert. Et il est rentré lui trouver couchée, c’est là qu’il lui a donné des coups avec un bâton. Sa main droite a été cassée à trois niveaux, et celui de la gauche, à deux niveaux. Pour l’instant, son mari reste encore introuvable, une enquête est ouverte pour sa recherche >>a-t-elle déclaré.
Aly Saad pour Laguineenne.info