La coordination régionales enseignants contractuels communaux non admis à l’évaluation des épreuves pratiques pour le concours de recrutement à la fonction publique guinéenne de la préfecture de kankan, ont montré leur désarroi dans la matinée de ce lundi 19 août 2024 dans les locaux de la cour d’Ho-CHI-MIN. Attristé par cette situation qui les ronge depuis la publication de la liste des enseignants contractuels retenu à la fonction publique, ces enseignants contractuelsco mmunaux disent être mécontent et avoir constater beaucoup d’anomalies dans la liste publié par le Ministre de la fonction publique. Moussa Diakité, est porté parole.
<< Nous sommes sortis ce matin pour montrer à l’opinion nationale et internationale le tord que nous avons subit, ce n’est pas parceque nous sommes opposés à ce résultat mais nous avons plutôt constaté quelques anomalies au niveau des résultats, il y’a des noms qui figurent sur la liste pendent que ces gens ne sont pas des enseignants contractuels, le nombre d’enseignants que l’Etat a jugé nécessaire de recruter n’est pas atteint, sur cette liste il y’a les noms comme kankan Traoré, est ce que Kankan Traoré est le nom d’une personne physique, si oui nous voulons savoir réellement qui est ce kankan Traoré?, est ce que « Google » est le nom d’une personne physique qui est aussi contractuel, si oui, il faut qu’on sache qui est ce Google ?, est-ce que Université Julius N’yéréré de kankan, est le noms d’un enseignant contractuel physique ? Donc, on veut savoir qui sont ces gens là, il y’a des doublons sur la liste, ce qui est plus marrant encore on n’a constaté des intruits sur la liste, on n’a constaté aussi que dans certaines écoles les vrais enseignants contractuels ont été remplacés par des intruits et des inconnus qui se trouvent sur cette liste, les chefs d’établissement sont témoins, il y’a des enseignants contractuels qui sont admis aujourd’hui, mais qui ne savent par ouvrir leur compte bancaire, on pense que en réglant tout cela ça peut donner accès à ceux qui ne sont pas admis d’être admis, l’État n’a cas pensé à nous, depuis 5 ans nous sommes sur le terrain>>. À t’il expliquer.
Pascal Kolié, correspondant régional à kankan.