Utilisée en entretien individuel ou en groupe avec des migrants dans les pays hôtes ou de transit, elle permet aux migrants de valoriser leur histoire et leurs acquis et aux accompagnants de recueillir les informations nécessaires à la prise en charge de chacun dans un cadre ludique et bienveillant. « Le jeu de cartes offre une opportunité de mettre en avant la relation de confiance entre le professionnel [qui écoute] et le migrant, celui-ci ayant déjà vécu de nombreux interrogatoires le long de son parcours », a expliqué l’experte en santé mentale au Bureau régional de l’OIM, Emilie Sepulchre.
Les 25 participants à l’atelier de formation sont des points focaux de l’OIM dans la région, des représentants des gouvernements, des associations locales œuvrant dans des centres de transit pour migrants, ainsi que des migrants de retour. K-par-Cas 2 a été développé en 2021 en collaboration entre l’OIM et l’association The Ink Link, un réseau engagé d’artistes et de professionnels de la bande dessinée qui vise à soutenir les organisations engagées pour des causes sociales, environnementales et humanitaires.
Source : dpa.news
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