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En 2015, la communauté internationale avec plus de 190 pays, avaient décidé en signant l’accord de paris, de lutter contre le réchauffement climatique, à travers « l’adaptation et l’atténuation ». En ce moment, des engagements libres et non contraignants avaient été pris par ces pays.
Parmi eux, les CDNs, contribution nationales déterminées, qui consistent pour chaque Etat, de mener au niveau national, des activités, projets et initiatives en faveur de la lutte contre le redoutable phénomène, à l’orée 2020.
A la veille de cette date, force est de constater que les objectifs sont loin d’être atteints sur un plan global.
Les objectifs et plans climatiques individuels soumis par 188 pays à la COP21 avec l’objectif, d’atteindre 2°C, de réduction d’émissions de gaz à effet de serre en 2020, constitue pour, chaque la contribution nationale à la lutte contre le réchauffement climatique.
En initiant donc cette rencontre, avec les Etats parties à la convention cadre des nations unies pour le changement climatique, CNUCED, la Présidente de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht voulait faire le bilan des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l’écart d’ambition à l’horizon 2020.
En présence des représentants de gouvernement, d’associations et points focaux des CDNs à cette tribune, dans une salle qui avait du mal à contenir du monde, les débats étaient forts intéressants et surtout contradictoires.
Il faut dire que de nombreux pays ont rappelé avoir fourni des efforts, mais pour la plupart, les ambitions étaient telles, qu’il fallait, les ajuster, en fonction des moyens et besoins. C’est le cas de la République de Guinée, qui est d’ailleurs dans le processus d’actualisation, de son document.
Il ressort ainsi de l’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au niveau de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique.
C’est donc avec beaucoup d’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan de la mise en œuvre des CDNs, s’est achevée, laissant place, à une nouvelle échéance, celle de 2020.
Idiatou CAMARA à Madrid
Parmi eux, les CDNs, contribution nationales déterminées, qui consistent pour chaque Etat, de mener au niveau national, des activités, projets et initiatives en faveur de la lutte contre le redoutable phénomène, à l’orée 2020.
A la veille de cette date, force est de constater que les objectifs sont loin d’être atteints sur un plan global.
Les objectifs et plans climatiques individuels soumis par 188 pays à la COP21 avec l’objectif, d’atteindre 2°C, de réduction d’émissions de gaz à effet de serre en 2020, constitue pour, chaque la contribution nationale à la lutte contre le réchauffement climatique.
En initiant donc cette rencontre, avec les Etats parties à la convention cadre des nations unies pour le changement climatique, CNUCED, la Présidente de la COP 25, Mme Carolina Smimmicht voulait faire le bilan des efforts globaux visant à lutter contre le réchauffement climatique et de partager des points de vue sur les voies et moyens pour réduire l’écart d’ambition à l’horizon 2020.
En présence des représentants de gouvernement, d’associations et points focaux des CDNs à cette tribune, dans une salle qui avait du mal à contenir du monde, les débats étaient forts intéressants et surtout contradictoires.
Il faut dire que de nombreux pays ont rappelé avoir fourni des efforts, mais pour la plupart, les ambitions étaient telles, qu’il fallait, les ajuster, en fonction des moyens et besoins. C’est le cas de la République de Guinée, qui est d’ailleurs dans le processus d’actualisation, de son document.
Il ressort ainsi de l’avis général, que des efforts doivent encore être fournis au niveau de chaque pays, si on veut atteindre les objectifs de réduction de co2, responsable du réchauffement climatique.
C’est donc avec beaucoup d’interrogations, mais surtout de scepticisme que cette rencontre bilan de la mise en œuvre des CDNs, s’est achevée, laissant place, à une nouvelle échéance, celle de 2020.
Idiatou CAMARA à Madrid