« Pour un système éducatif performant, il importe (…) que les acteurs de l’éducation disposent d’une approche commune pour prévenir et lutter contre les VBG en milieu scolaire », a indiqué l’UNESCO.
Au Mali, au moins 27,3 pour cent des élèves et étudiants assurent avoir été touchés par au moins une forme de VBG, selon les résultats d’une Étude sur les déterminants des VBG en milieux scolaire et universitaire, publié en 2024 par l’Institut National de la Statistique (INSTAT).
Les prévalences les plus élevées sont observées dans les régions de Kayes (35,2 pour cent) et de Sikasso (34,9 pour cent), d’après cette étude menée dans les régions maliennes ciblées par l’« Initiative Spotlight pour éliminer la violence à l’égard des femmes et des filles ».
Partenariat mondial pluriannuel entre l’Union européenne (UE) et les Nations unies, cette Initiative vise, selon ses initiateurs, à « éliminer », d’ici à 2030, « toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles en Afrique, en Asie, dans les Caraïbes, en Amérique latine et dans le Pacifique ».
source: dpa.news