« L’ambition est de faire de ces espaces, un poumon économique pour le pays », a indiqué le porte-parole du gouvernement, Akodah Ayewouadan, cité par le portail de la République togolaise. « Il s’agit désormais de les catégoriser. Nous aurons des aires protégées qui relèveront de l’État, des collectivités territoriales, des communautés ou encore de personnes morales », a-t-il expliqué.
Les sites en question sont fortement menacés depuis quelques années du fait de la surexploitation des ressources naturelles, la déforestation, l’agriculture et l’installation de hameaux d’habitation. Face à l’empiètement de ces surfaces par les populations, de nombreuses initiatives ont été mises en place par les pouvoirs publics. Le ministère togolais de l’environnement avait annoncé, en 2022, qu’il envisage de se doter d’équipements adéquats (cinq drones et une cinquantaine de caméras trap) pour favoriser un meilleur contrôle des aires protégées.
Source: dpa.news