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83 mille candidats au baccalauréat session 2021 entament ce jeudi 22 juillet, les premières épreuves sur toute l’étendue du territoire national. Dans la commune de Matoto, c’est au lycée Ahmed Sékou Touré que le lancement des sujets a été fait. Selon le directeur communal de l’éducation de là dite commune, 16771 candidats dont 6555 filles inscrits sont répartis entre 38 centres d’examens: » Sous les instructions de Monsieur le ministre de l’éducation nationale, nous avons pris toutes les dispositions pour que les examens se passent dans les meilleures conditions, pour la valorisation de l’école guinéenne surtout parce qu’ il ne faut pas organiser n’importe quel examen, mais il faut qu’à la fin, ce que nous cherchons soit avec nous, c’est ainsi qu’il y’a eu assez d’exigences . Vous avez dû constaté, personne ne peut être candidate s’il n’a pas déjà son brevet. Dans ma commune j’ai 16771 candidats dont 6555 filles, repartis entre 38 centres, et 1225 surveillants »
Cette année, plusieurs réformes ont été engagées par le département de l’éducation, pour empêcher les fraudeurs au cours des examens. Notamment l’existence d’appareils détecteurs de métaux dans les centres. Au lycée Ahmed Sékou Touré tous les candidats ont été détectés, explique le chef service de détection métal Oularé Amara: » D’abord le centre là comporte 20 salles avec 619 candidats. Pour un départ on a pas retrouvé de candidat détenant un appareil. Lorsque vous détenez un métal il détecte mais il n’est pas dit forcément que quand ça sonne ou ça vibre c’est le téléphone ça peut être aussi la ceinture. Pour ce contrôle, nous commençons très tôt le matin avant que les candidats soient dans les salles. Mais ça peut nous échapper parfois , c’est le seul métal qui se trouve dans ce centre, donc quand je commence à avoir des candidats ça peut faire des débordements. Mais une fois les enfants sont installés dans les salles je continue à les contrôler individuellement »
Aboubacar Camara