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Gueckédou démarrage ce lundi 03 septembre 2018 du concours national des écoles techniques et professionnelles.
Seulement un (01) candidat inscrit et présent sur la liste de l’école Nationale de l’agriculture et de l’élevage ( ENAE) dans la préfecture de gueckédou.Selon Fassou Mamy, délégué préfectoral, le manque d’information serait à l’origine de ce faible taux enregistré à Gueckédou.<<Je suis rentré hier. J’ai constaté qu’il y a moins de candidatures sur la liste de certaines filières comme L’ENAE où il y’a seulement un candidat inscrit. L’insuffisance voir le manque d’information serait la cause de ce faible taux.>>.Selon le délégué, l’implication des autorités, les parents d’élèves et les médias de la place serait indispensable.<< Comme dans les autres préfectures, les autorités à tous les niveaux, les parents d’élèves et les médias de la place devraient fortement s’impliquer dans le processus. Mais hélas, le constat révèle que les gents n’ont pas été suffisamment informés sur l’importance des écoles techniques et professionnelles voir même les significations des abréviations comme ENAE. C’est pourquoi nous souhaitons désormais l’implication de chacun et de tous >>.Pour Labilé Sonomou , Directeur du CFP de Gueckédou, en Guinée, l’enseignement technique est laissé pour compte :
< En Guinée, la pyramide de l’éducation à été renversée par les politiques. La Guinée s’est contentée de former les cadre supérieurs et laisser pour compte les écoles techniques et professionnelles, qui en réalité devraient contribuer efficacement au développement de la nation comme chez les pays voisins tels que le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso et tant d’autres.>>
Selon lui, l’école technique et professionnelle coûte cher par rapport à l’enseignement général.<<l’ouverture des écoles techniques et professionnelles coûte très chère par rapport aux écoles d’enseignement général. Dans les écoles techniques et professionnelles, il faut de gros investissements car ce n’est pas les papiers mais plutôt le matériel de formation adéquat doit exister. Et pour ça l’État doit mettre le paquet.>>Contrairement aux écoles techniques et professionnelles des autre pays, celles de la Guinée servent de seconde chance aux candidats qui ratent à plusieurs reprises le brevet ou le BACGueckédou-Faya Moussa ll Kamano-Pour -le site: laguineenne.infos
TEL: 621 59 79 47/ 654 76 37 67