400 hectares de cultures innondées à Dubréka. Les digues sont envahies par les eaux qui ont gatté les cultures. Parmi les cinestrés, certains ne comptaient que sur ces cultures pour satisfaire les besoins des familles. « C’est à travers nos cultures, que nous arrivons à nourrir nos familles, mais aujourd’hui, tout est détruit. Nous avons les larmes aux yeux ».
Déterminés à remettre sur pied leurs champs detruits, les citoyens ont organisé une cérémonie de lecture du saint corant, afin que des bonnes volontés volent à leurs sécours.
Maïmouna Bangoura