« Il m’est particulièrement difficile d’amener les jeunes filles (djiboutiennes, ndlr) de leur maison jusqu’aux terrains de football. Heureusement, l’école est là. Elle leur donne la chance de s’exprimer balle au pied, et elle offre la possibilité de découvrir une autre facette de ces jeunes filles », s’est félicitée Mme Fathia Galab, professeur d’éducation physique et entraîneur de football, citée par la FIFA. Lancé en 2019 et géré par la FIFA et l’UNESCO, le programme F4S vise à contribuer à l’éducation, au développement et à l’autonomisation de près de 700 millions d’enfants à travers le monde.
« Son objectif est de rendre le football plus accessible aux jeunes filles et garçons du monde entier en incorporant des activités footballistiques au système éducatif, en partenariat avec les autorités et les parties prenantes concernées », a-t-on lu sur le site du programme. Il « tient compte des politiques mondiales en matière de sport, d’éducation et de santé (…) pour promouvoir l’activité physique », a-t-on souligné de même source.
source: dpa.news