Cette activité s’inscrit dans le cadre d’un projet baptisé « Renforcement des capacités sanitaires au niveau décentralisé dans les zones frontalières face à la Covid-19 et autres maladies à potentiel épidémique en Guinée ». La formation qui a duré une semaine a été assurée par des experts de la Guinée et de l’Université de Nagasaki du Japon, a indiqué l’Organisation internationale pour les migrations(OIM). Après cette première étape, 18 autres techniciens de laboratoire des mêmes zones frontalières seront formés dans leurs laboratoires respectifs en cours de réhabilitation, a-t-on ajouté.
L’objectif est de « prévenir, détecter et répondre aux menaces de plus en plus croissantes des maladies infectieuses émergentes et, en second lieu, la mutualisation de nos efforts pour promouvoir la sécurité sanitaire qui constitue une priorité mondiale », a déclaré une responsable de l’OIM.
Source: dpa.news